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L'après midi venait toujours de commençait quand il la croisa. Elle était assise au centre d'une clairière, discutant gaiment avec plusieurs petits esprits qui volaient autours d'elle comme de délicates créatures protégeant la déesse.
La nature semblant elle aussi protéger la rouquine, l'entourant comme la plus précieuse des êtres. L'herbe semblait si douce sous elle, comme une couverture. Les arbres laissaient la lumière passer à travers leurs branches pour éclairer la jeune fille.
Ulquiorra voyait la nature la plus épanouit qu'il était possible de voir, chaque arbres étant porteur de fleurs ou de fruits.
Orihime relevais les yeux vers les petits êtres volant, ses longs cheveux roux tombant en cascade sur sa toge crème qui couvrait ses formes. Une épaule dévoilait, une ceinture de fleurs a sa taille et des tiges recouvrant ses jambes comme une paire de chaussures naturel. Le regard vert se portait sur ses bras, de beaux bras recouverts de bijoux en fleurs et plantes qui décorait la peau de porcelaine de la femme tout en étant assortie aux deux fleurs étranges bleus qu'elle avait de chaque coté de sa tête.
Les esprits autours d'elle s'agitaient, remarquant sa présence. Levant ses yeux gris vers lui , Orihime parut confuse avant de sourire et de faire signe a l'autre dieux d'approcher. Sa main se posait sur la place a coté d'elle , l'herbe semblant s'abaissait pour laissait place a une deuxième personne comme si le vent avait suivit les pensées de la femme a invité le dieu aux cheveux noirs comme les cendres.
" Approchez vous, ne restez pas caché."
La voix était douce, et le jeune homme se décida à sortir de l'ombre envoutait presque par cette ondine terrestre. Orihime était aussi belle qu'un rayon de soleil, souriante mais lui était exactement l'inverse. Une femme de la nature et lui un homme de cendre. Une peau pale, des cornes sortant de ses cheveux noirs. Des fausses lames dessinaient a jamais sous yeux verts, des pattes plus animale qu'humaine recouverte de fourrure noir et de grande ailes de chauve-souris était son apparence. Une toge grise était accrochait a ses hanches, montrant ses cotes et sa maigreur presque comme le serait un cadavre. C'est du moins se que pensait le dieu.
Les plantes semblait perdre de leurs éclats sur son passage, malgré ça Orihime gardait son sourire se qui surprit le jeune homme.
Les esprits qui entouraient la rousse s'éloignaient un peu de la femme, restant loin de l'autre dieu mais prêt a protégeait la jeune déesse au moindre mouvement suspect. Cela rendait nerveux le dieu mais maintenant qu'il était découvert et invité il ne pouvait que s'avancer et prendre place à coté d'Orihime.
" Je ne vous ai jamais vue ici. Êtes-vous un héro ou un envoyé des dieux?"
Sa voix était définitivement la plus agréable qu'il est entendu passa le dieu infernal. Elle semblais si naïve, trop gentille pour son propre bien.
" Je ne suis rien de tout ça. Je suis celui qui dirige le monde souterrain."
Une surprise passa dans les yeux de la déesse, avant qu'un sourire timide n'apparaisse de nouveau sur son visage angélique.
" Vous êtes bien trop beau pour être un dieu si seul. Êtes-vous un de ses envoyés ?"
" Es-ce si surprenant que je sois bien moi ?"
" Bien sur. On m'avait décrit un dieu triste, effondré sous sa lourde tache. Pourtant vous êtes la plus ravissante personne qui ma était donné de croiser"
Ulquiorra sentie ses joues chauffait sous le compliment et détourna la tête dans l'espoir vain que la déesse ne remarque pas la porter de ses paroles.
" Pourquoi rougissait vous donc ? On m'avais décrit une tout autre personne."
" Es-ce mal ?"
" Absolument pas. Vous êtes bien plus beau ainsi." Conclut Orihime , regardant l'autre dieu avec tendresse.
Ulquiorra fut sur que ses joues chauffait d'avantage. Mais même si c'était le cas la déesse ne dit rien et resta silencieux près de lui, observant comme a son arriver les esprits qui l'entouré jouer autours d'elle. Le dieu de l'enfer pensa quelque instant a comment c'était calme sans pour autant être silencieux.
Sa demeure était d'un silence glaciale, malfaisant avez décrit quelque dieux qui avaient visité sa demeure. Mais autours de la déesse était chaleureux, bercer par le bruit des animaux et du vent a travers la foret. Quand il se promenait dans les enfers, c'était calme du repos des âmes mais angoissant. Mais autours de la déesse tout semblais si vivant.
Il paraissait sans cœur face à la rousse qui laissait si librement ses émotions.
Orihime souriait toujours quand elle se tourna vers lui, attrapant sa main blanche comme les os pour entrelacer ses doigts chauds avec les siens.
" Cela peut paraitre osait mais … J'aime être avec vous aussi étrange que cela soit."
La rousse prit une pause, se pinçant la lèvre.
" D'habitude ceux qui m'entours sont si … agité." Elle prit une mine presque honteuse avant d'agité sa main libre comme pour chasser ses dires. "Pas qu'ils soient désagréable ! Je les aimes beaucoup mais Ils … Se chamaillent gentiment, se battent pour s'amusait et je me doit d'avouait que j'aime nos soirées autours d'un festin et de discutions mais vous …"
Ulquiorra regardait la jeune femme, sa peau frémissante quand sa main se retrouvaient enlacer par celles chaudes de la déesse comme seule trahison de sa surprise.
" Accepterez vous de passait me voir de nouveau ?"
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Le soleil se glissait facilement a travers les rideaux, se posant sur les deux hommes endormies. Osoro ouvrait les yeux rapidement, avisant l'heur sur son téléphone. Il avait loupé une bonne partie de la matinée, pas que cela ne l'importait vraiment. Il séchait presque tout les cours.
S'asseyant sur son lit, il allumait rapidement une cigarette en pensant a la nuit incroyable qu'il venait d'avoir. La fumé s'échappait de sa bouche, son regard s'égarant sur le cendrier vide. Il avait dut le vider avant qu'il ne rentre hier.
Il passa une main dans ses cheveux blonds, caressant sans le vouloir la nouvelle marque de son amant sur son épaule. Une belle marque de morsure qui ne le dérangeait nullement. Avec ses nombreuses cicatrices et membres bandais pour laissait ses dernières plais cicatriser en paix, il ne ferait pas grande différence.
Un nouveau nuage de fumé quitta ses lèvres quand il laissait sa main courir sur le corps endormie près de lui. Il l'avait vraiment épuisait hier pensa t'il avec un sourire. La peau blanche frissonna mais le jeune homme restait endormi. La main du blond dériva sur les quelque griffures qu'il lui avais faite dans le dos , puis vers sa chute de rein cacher par le drap en mauvais état et terne.
Un coussin serait dans ses mains, Ayato continuait de dormir silencieusement en bougeant légèrement. La couverture glissa de ses hanches, dévoilant la zone la plus délicieuse de son corps au gout du blond.
Osoro écrasa sa cigarette dans sans cendrier. Etirant ses muscles, le délinquant se glissait contre son amant qui ouvrait lentement les yeux. Deux onyx froides l'accueillait pourtant Osoro continua son avancé vers le visage de l'autre lycéen. Ses lèvres abîmer se posait sur celle du jeune homme froid. Le simple contacte d'abord simple devient plus violent quand Ayato l'approfondie. Le blond fut retournait contre le lit , le noiraud au dessus de lui et ses mains dans les siennes contre le matelas. Rapidement la bouche d'Ayato déviait sur son cou. Mordillant sa marque encore fraiche, il descendait vers son torse après être sur que la marque resterais longtemps sur son amant.
La chose dur qui sentait contre lui arriva a faire apparaitre une émotion sur son visage, un léger sourire quand il s'arrêtait sur sa hanche pour la mordre. Osoro gémissait, laissant a l'autre homme la joie de faire de lui a gâchis de gémissement. Mais cette fois cela serait lui en dessus.
D'un coup de hanche les rôles s'inversait et Ayato continuait les soins qu'il accordait au blond tandis que celui-ci commençait a préparait Yandere-Kun a la suite. Les doigts s'agitaientt, certains pénétrant dans l'espace qui devait être détendu et d'autre jouaient sur la peau pale.
Bientôt la chambre était remplie de gémissement des deux jeunes hommes qui passait au chose plus sérieuse. Ayato avait une rougeur sur ses joues, sentant le membre d'Osoro en lui et sa prostate devenir folle. Osoro n'était pas mieux et aurait put jurait que la température avait augmentait. Les coups devenaient de plus en plus rapide, plus fort et les cours finissaient pour la matinée quand les deux amants s'écroulaient après une délivrance méritait après s'être taquiné et avoir joué dans une lutte habituelle entre l'amusement , la curiosité et l'envie de gagner sur l'autre.
Osoro respirait difficilement, la tête posait contre le seul coussin encore présent sur le lit et Ayato sur son torse, la respiration tout aussi rapide que la sienne et les joues toujours rouges.
"Incroyable" Répétas t'il une nouvelle fois complètement vider de ses forces mais un sourire satisfait.
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